26 juin 2009
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21:53
Nous avions décidé d'aller à Neuilly pour la fête de la musique.
(je sais, faut être un peu barge pour aller dans ce coin là, mais je crois que je le suis un peu... et le pire c'est que j'arrive même à y entraîner les copines).
Le concert qui nous intéressait devait commencer vers 22h.
Bien sûr, nous avons débarqué à 21h55 de notre station de métro.
En retard. Par ma faute comme toujours.
Notre mission plus difficile que nous le pensions : trouver la mairie.
On se dépêche dans les rues, on demande notre chemin aux autochtones, qui savent pas toujours.
Parmi les autochtones, mention spéciale à la catégorie "pétasse prépubère" qui se déplace en bandes (organisées). De la petite pétasse chic, pas de la grosse pouffiasse vulgaire !
Même yen avait une avec des talons aiguilles, collant et short, si on avait raccourci le short d'un centimètre, c'était plus la peine qu'elle le mette.
Bref, c'est ça les banlieues... les jeunes qui traînent et que ces irresponsables de parents sont incapables de surveiller.
On a fini par trouver la mairie.
En fait on est arrivé... pendant le concert qui précédait celui qu'on voulait voir, et qui était pas encore terminé.
Après on a attendu attendu attendu...
Parce qu'il a fallu qu'ils enlèvent le matériel du chanteur, et qu'ils installent celui du suivant.
Alors on a attendu attendu attendu...
Le bon coté des choses, on l'a appris en discutant avec un autochtone présent sur les lieux : nous découvrîmes que nous avions ainsi réchappé à monsieur le maire poussant la chansonnette (parait qu'il chante très bien) ainsi qu'à Patriiiiiick (Bruel ou Fiori, sais plus lequel des deux, mais je crois que l'un ou l'autre nous auraient fait fuir trèèès vite et trèèèès loin).
Heureusement qu'Ilene Barnes n'a qu'un guitariste et un batteur, parce qu'il leur a fallu une bonne heure pour installer le matos.
Si ça avait été un orchestre, on y serait probablement encore.
(conseils aux artistes qui liront éventuellement cette note : pas prendre les gars de la mairie de neuilly comme roadies).
A un moment, notre voisin, un autochtone, s'exclame : Je vois une blonde là bas, ça doit être elle !
On se regarde avec la copine, et on éclate de rire.
Nous avions ainsi la preuve que l'autochtone était vraiment là par hasard et savait pas ce qu'il allait voir ni écouter.
On lui a expliqué qu'Ilene Barnes était pas vraiment blonde.
(Et je pense pas qu'elle nous fera un jour de la décoloration à la Michael Jackson, pas le style.)
Alors on a attendu encore encore encore.
Elle est arrivée ! enfin ! Avec une bonne heure de retard.
Et à un moment, notre voisin autochtone (et presbyte), il a tendu les bras devant mes yeux pour pianoter sur son portable : "ici superbe chanteuse métisse concert pas fini ... tres tres bien"
On lui avait bien dit qu'on était pas venues là par hasard, et qu'on savait ce qu'on qui on venait voir.
Parce que Ilene Barnes, avec son charisme et sa voix, elle est géniale. C'est pour ça qu'on y retourne et que j'en reparle parce que j'en avais déjà causé ici.
Lui savait pas.
Ilene, je crois que tu t'es fait un fan de plus...
Même si tu nous a tous traités d'indiens de Neuilly. Voui.

Ah... petit détail pour terminer... c'était en fait l'année dernière, un peu après ce concert.
(je sais, faut être un peu barge pour aller dans ce coin là, mais je crois que je le suis un peu... et le pire c'est que j'arrive même à y entraîner les copines).
Le concert qui nous intéressait devait commencer vers 22h.
Bien sûr, nous avons débarqué à 21h55 de notre station de métro.
En retard. Par ma faute comme toujours.
Notre mission plus difficile que nous le pensions : trouver la mairie.
On se dépêche dans les rues, on demande notre chemin aux autochtones, qui savent pas toujours.
Parmi les autochtones, mention spéciale à la catégorie "pétasse prépubère" qui se déplace en bandes (organisées). De la petite pétasse chic, pas de la grosse pouffiasse vulgaire !
Même yen avait une avec des talons aiguilles, collant et short, si on avait raccourci le short d'un centimètre, c'était plus la peine qu'elle le mette.
Bref, c'est ça les banlieues... les jeunes qui traînent et que ces irresponsables de parents sont incapables de surveiller.
On a fini par trouver la mairie.
En fait on est arrivé... pendant le concert qui précédait celui qu'on voulait voir, et qui était pas encore terminé.
Après on a attendu attendu attendu...
Parce qu'il a fallu qu'ils enlèvent le matériel du chanteur, et qu'ils installent celui du suivant.
Alors on a attendu attendu attendu...
Le bon coté des choses, on l'a appris en discutant avec un autochtone présent sur les lieux : nous découvrîmes que nous avions ainsi réchappé à monsieur le maire poussant la chansonnette (parait qu'il chante très bien) ainsi qu'à Patriiiiiick (Bruel ou Fiori, sais plus lequel des deux, mais je crois que l'un ou l'autre nous auraient fait fuir trèèès vite et trèèèès loin).
Heureusement qu'Ilene Barnes n'a qu'un guitariste et un batteur, parce qu'il leur a fallu une bonne heure pour installer le matos.
Si ça avait été un orchestre, on y serait probablement encore.
(conseils aux artistes qui liront éventuellement cette note : pas prendre les gars de la mairie de neuilly comme roadies).
A un moment, notre voisin, un autochtone, s'exclame : Je vois une blonde là bas, ça doit être elle !
On se regarde avec la copine, et on éclate de rire.
Nous avions ainsi la preuve que l'autochtone était vraiment là par hasard et savait pas ce qu'il allait voir ni écouter.
On lui a expliqué qu'Ilene Barnes était pas vraiment blonde.
(Et je pense pas qu'elle nous fera un jour de la décoloration à la Michael Jackson, pas le style.)
Alors on a attendu encore encore encore.
Elle est arrivée ! enfin ! Avec une bonne heure de retard.
Et à un moment, notre voisin autochtone (et presbyte), il a tendu les bras devant mes yeux pour pianoter sur son portable : "ici superbe chanteuse métisse concert pas fini ... tres tres bien"
On lui avait bien dit qu'on était pas venues là par hasard, et qu'on savait ce qu'on qui on venait voir.
Parce que Ilene Barnes, avec son charisme et sa voix, elle est géniale. C'est pour ça qu'on y retourne et que j'en reparle parce que j'en avais déjà causé ici.
Lui savait pas.
Ilene, je crois que tu t'es fait un fan de plus...
Même si tu nous a tous traités d'indiens de Neuilly. Voui.

Ah... petit détail pour terminer... c'était en fait l'année dernière, un peu après ce concert.