23 décembre 2007
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'est ce que je préfère à Noël
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24 novembre 2007
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15 novembre 2007
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Ces images fournies par la sonde "Kaguya" (du nom d'une princesse de la lune, tirée tout droit d'un conte japonais) sont étonnantes, et d'une résolution exceptionnelle. Nous les devons à l'agence spatiale japonaise jaxa La sonde japonaise se trouve en orbite lunaire depuis le 18 octobre 2007, à une altitude de 100 kilomètres environ. J'ai choisi de faire ma vidéo perso du coucher de Terre sur la Lune, avec une musique nommée "selenium" de Jean-Philippe Arnaud. (le choix de la musique est un clin d'oeil lunaire auquel je n'ai pu résister)
Kaguya
(le film original est ici)
C'est une petite boule bleue qui ne touchera jamais les déserts (mers ?) de sables lunaires...
La Terre parait avoir le même diamètre tout le temps, contrairement à la Lune et au Soleil vus de la Terre, qui se déforment en "touchant" l'horizon. Cet effet d'optique est dû à l'atmosphère terrestre. Or la Lune n'a pas d'atmosphère...
En fait, un lever ou coucher de Terre sur la Lune, ça ne se verra jamais... parce que la Lune nous présente toujours la même face. Donc la Terre, vue depuis la Lune, ne fait que tourner sur elle-même sans bouger. Si ce film a pu être réalisé, c'est parce que Kaguya est en mouvement orbital autour de l'astre, d'ou l'impression de "coucher de Terre".
Edit : Je re-regarde aujourd'hui cette vidéo avec du recul et je me dis que j'ai fait un truc vachement kitsch. Parce que je commence à manier un pauvre logiciel de vidéo, je me prends pour Stanley Kubrik en train de refaire "2001 odyssée de l'espace"
- Allo ici Houston ! faut redescendre sur Teeeeerre !
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22 septembre 2007
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Le 22 septembre, par Georges Brassens, 1964
Un vingt-deux de septembre au diable vous partites,
Et, depuis, chaque année, à la date susdite,
Je mouillais mon mouchoir en souvenir de vous...
Or, nous y revoilà, mais je reste de pierre,
Plus une seule larme à me mettre aux paupières:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
On ne reverra plus au temps des feuilles mortes,
Cette âme en peine qui me ressemble et qui porte
Le deuil de chaque feuille en souvenir de vous...
Que le brave Prévert et ses escargots veuillent
Bien se passer de moi pour enterrer les feuilles:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
Jadis, ouvrant mes bras comme une paire d'ailes,
Je montais jusqu'au ciel pour suivre l'hirondelle
Et me rompais les os en souvenir de vous...
Le complexe d'Icare à présent m'abandonne,
L'hirondelle en partant ne fera plus l'automne:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
Pieusement noué d'un bout de vos dentelles,
J'avais, sur ma fenêtre, un bouquet d'immortelles
Que j'arrosais de pleurs en souvenir de vous...
Je m'en vais les offrir au premier mort qui passe,
Les regrets éternels à présent me dépassent:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
Désormais, le petit bout de coeur qui me reste
Ne traversera plus l'équinoxe funeste
En battant la breloque en souvenir de vous...
Il a craché sa flamme et ses cendres s'éteignent,
A peine y pourrait-on rôtir quatre châtaignes:
Le vingt-deux de septembre, aujourd'hui, je m'en fous.
Et c'est triste de n'être plus triste sans vous
J'aime beaucoup ce texte. Il me prend au tripes. Etonnant, pour moi qui n'apprécie que moderement Brassens (je n'ai pas d'explication, c'est ainsi...)
ug_fck
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17 septembre 2007
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version poetique
Les korrigans qui hantaient le sous sol glauque de La Défense décidèrent, un jour, d'aller voir ce qui se passait là-haut au sommet des tours, et de découvrir l'intérieur de ces grandes cheminées de verre et d'acier. Un samedi matin brumeux, ils montèrent les escaliers, puis escaladerent la résille de la tour T1. Or un qui nuage passait par là les emporta avec lui. C'est peut être de là que nous vient, à rebrousse-temps, le village dans les nuages qui a baigné notre enfance....
Photo en couleur, sans trucage, prise le 25 août 2007 à 10h15 (d'habitude on voit clairement le haut des tours)
version plus amusante
Après avoir failli être percutée par les avions du 14 juillet, la résille de la tour T1 s'est noyée dans un fog londonnien qui s'est trompé de coté du channel. Bientôt peut être la suite de ses nouvelles aventures. J'espère aussi qu'elle est bien traitée antirouille.
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26 août 2007
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14 juillet 2007
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n direct d'une fenêtre d'un ami bénéficiant d'une jolie vue, le défilé aérien au dessus des tours de La Défense.Cette année, je voulais voir si l'un des avions allait taper dans la gracieuse résille couronnant la nouvelle tour t1, et installée juste quelques jours auparavant (ou plutôt voir si ladite résille allait être simplement et proprement pulvérisée par un avion).P'têtre qu'aussi l'un d'eux allait ENFIN passer sous la grande arche... (là faut pas rêver, on aurait pas vu, mais on en aurait entendu parler ;-))) 14juil
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Ils sont pas passés loin (voir à 9 et à 39 sec). Ce sera - peut être - pour l'année prochaine...En tout cas, le mardi après midi d'avant, avec leurs exercices, aucun biznessman de La Défense n'a pu faire sa sieste posprandiale habituelle. /http%3A%2F%2Fimg123.imageshack.us%2Fimg123%2F6808%2Fgoodbyeplaneku4.gif)
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4 mars 2007
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21 février 2007
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18:55
a lune quelque part au dessus des environs de La Défense, le 19 février dernier.
Le petit point brillant à coté c'est Vénus...
(merci winstars)
voudrait-elle la bercer ?
cela me rappelle une chanson de MECANO : hijo de la luna....
et quelques jours plus tard, toujours au dessus de La Défense, l'éclipse
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