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Bienvenue...

... aux visiteurs égarés sur ce modeste blog !

Ici, je me fais plaisir, en conséquence les billets sont assez (très) variés. J'ai tenté de les organiser par catégories (voir sur la gauche).

Le tutoriel "Netvibes pour ceux qui connaissent pas" est ici
Tout sur le hoax/canular du camion gris "72B 381" qui n'existe pas, c'est

Il se peut aussi qu'un billet déjà publié change parfois légèrement au gré de mon humeur, ou s'enrichisse au fil de mes vagabondages et trouvailles sur la toile (cas heureusement le plus fréquent).

Je me réserve également le droit de ne pas conserver les commentaires sans lien avec le billet concerné, les "kikou bisou" ou autres publicités gratuites.
(et si une vidéo ou un lien n'est plus disponible, signalez-le moi, on essaiera d'arranger ça)

Dernière chose, parait-il que le second degré ne serait pas absent de ce blog ...

J'ai mis les commentaires en modération parce que je passe moins souvent mais je suis toujours là...

Sur ce, bonne visite.

Archives

26 juillet 2010 1 26 /07 /juillet /2010 20:45

... qu'on s'était pourtant promis de ne plus remplir

 

Méthode n°1

 

- Sortir courageusement les piles trop hautes de tee-shirt et petits hauts

- faire un tri, en jeter quelques uns, en réserver quelques autres pour emmaus

- laisser la pile pour emmaus sur un bout de meuble

- quelques jours plus tard, porter un petit ensemble tee-shirt-pantalon

- se dire qu'avec la chaleur, le tee-shirt fera pas le lendemain, mais qu'on peut encore porter le pantalon une journée

- chercher désespérément dans les piles de tee-shrt et petits hauts quelquechose qui irait avec le pantalon

- aviser le vêtement du haut de la pile pour emmaus, vêtement qui squatte l'armoire depuis plusieurs années sans jamais avoir été porté, et se dire que c'est quand même le truc qui le fera le mieux.

- se dire qu'involontairement, ya quelquechose qui était sorti de l'armoire et qui malheureusement y retournera

 

Méthode n°2

 

- Se faire piquer juste sous le nez le seul tee-shirt repéré avant les soldes, qu'on avait cru avoir bien planqué sur un bout de portant au fond du magasin, et qu'on pensait retrouver soldé.

- rechercher désespérément son jumeau dans le magasin

- sortir du magasin d'une humeur massacrante

- rentrer aussitôt dans celui d'à coté, où il n'y a aucun risque d'achat (parce que chez Jennifer ou Mim, il n'y a que des fringues pour girafes anorexiques)

- noter un groupe de nanas bruyantes, toutes plus larges que hautes, en train de choisir des robes longues très (trop) étroites

- les voir aller vers les cabines d'essayage avec des robes dans lesquelles aucune ne pourra rentrer

- être prise d'une envie irrépressible d'être méchante, (probablement à cause de la pétasse qui vous a soufflé le petit haut convoité 10 minutes auparavant)

- prendre la même robe que l'une des nanas, en se disant que puisque ya moins de gras sur le bide, on va l'essayer devant elles juste pour les faire baver

- sortir exprès dans le couloir des cabines d'essayage pour s'admirer avec la robe

- les entendre remarquer avec satisfaction combien la robe vous va bien

- écouter, 2 minutes après, l'une des nanas dire à l'autre : "vas-y, tu peux rentrer dedans, tire, tire encore !"

- se retenir de rire à la vue de la tronche complètement affolée de la vendeuse qui sait que la robe va pas survivre

- se retrouver au final à la caisse avec la robe qui, en fin de compte, va pas si mal dans une main, et la carte de crédit dans l'autre.

- se dire que lorsqu'on part pour un tee-shirt, et qu'on revient avec une robe, c'est mal barré pour vider l'armoire qu'on devait plus remplir...

 

bulles.gif

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12 juillet 2010 1 12 /07 /juillet /2010 18:17

Paul et Pauline sont sur un bateau

Paul tombe à l'eau


Qui est sauvé ?


Paul ! Il a retrouvé son milieu naturel aquatique, parce que Pauline risque de finir desséchée sur le bateau...


Je dis ça parce que tout le monde ne sait pas qu'un poulpe vit dans l'eau.


Si si. La preuve : une capture d'écran du site de lci/tf1 qui explique le mode d'emploi du poulpe divinatoire (dans un cadre en bas de l'article) : "L'animal est plongé dans un bassin rempli d'eau, qui contient deux boites." (sic)

 

paultf1

 

Pincez-moi pas !!!


(J'aurais plutôt dit que les boites étaient plongées dans le bassin du poulpe... mais d'un autre coté, c'est les lecteurs/spectateurs de TF1, faut pas trop en demander non plus...)


Tout ça aussi pour transmettre un message à Pauline, la pieuvre néerlandaise :


Pauline, si tu me lis, tu as intérêt à bien accrocher tes ventouses à ton aquarium si tu veux pas finir accommodée à la sauce hollandaise...

 

poulpe-avance.gif

 

(et à coté de ça, j'ai des billets sérieux à faire et j'y arrive pas !)

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12 mars 2010 5 12 /03 /mars /2010 18:40
Ce texte circule par mail en ce moment, et a fait rire quelques unes de mes connaissances.

Sauf que la version mail ne dit rien sur son origine...

Forte de l'aide de gogol, je l'ai retrouvée.

C'est un article de René Perez, paru le 12 décembre 2009 dans le télégramme.

Now, enjoy :

barre25.gif
De récentes études le confirment:les femmes ont un champ visuel plus large que celui des hommes. Elles voient tout! Cette particularité remonte, paraît-il, aux temps préhistoriques ou durant des millénaires, les femmes ont dû tout surveiller dans la grotte (le feu, les marmots, les prédateurs) pendant que l'homme allait au mammouth, loin du foyer. Ce qui explique, au passage, la raison pour laquelle l'homme réussit toujours à retrouver sa tanière alors que la femme est un peu paumée dès qu'on lui met une carte routière entre les mains. C'est connu.

Ce particularisme visuel peut aussi éclairer une question de société revenue soudain au devant de l'actualité: qui fait le ménage à la maison? L'homme, en raison de la faiblesse de son champ visuel, souffre d'un handicap manifeste. Surtout le Breton qui, depuis l'Antiquité, a dû mettre la main en visière pour regarder au loin l'état de la mer, le vol des oiseaux et le profil des nuages pour son labeur quotidien. Il en a développé une acuité qui, par ricochet, a réduit son champ visuel périphérique et sa capacité à bien distinguer certains détails de près. Ainsi, lorsque la femme dit à l'homme «tu vois la poussière, là ?», l'homme répond invariablement «de la poussière, où ça ?». C'est scientifiquement prouvé, l'homme ne voit pas la poussière alors qu'il voit très bien, de loin, la marque de la nouvelle voiture du voisin, comme au temps jadis où il chassait l'antilope.

Cette étroitesse du champ visuel explique aussi la raison pour laquelle l'homme n'est pas fait pour la vaisselle. 83,67% des assiettes ébréchées sont directement en lien avec cette incapacité de l'homme à bien distinguer tous les obstacles angulaires situés entre l'évier et le placard. Bing! Et souvent la femme doit intervenir («laisse, je vais faire moi-même»), consciente de la déficience visuelle de son descendant de chasseur. Ce handicap se vérifie aussi dans le test du frigo. L'homme est capable de retrouver des éléments dont il connaît le prépositionnement dans l'espace, comme les bières ou les glaçons.

En revanche, le test de la plaquette de beurre est implacable. L'homme ouvre le frigo. Conscient de l'étroitesse de son champ orbital, il regarde à droite, à gauche, en haut, en bas. Mais du coup, il ne pense pas à regarder au milieu, là où généralement se trouve la plaquette de beurre. Alors devant tant d'évidences, peut-être faut-il cesser d'évoquer le machisme ou la fainéantise dans la réticence de l'homme à faire le ménage. C'est juste une question de champ visuel inadapté à l'étroitesse du territoire domestique. Mais il ne faut pas désespérer: maintenant que l'homme ne chasse presque plus, son champ visuel va lui aussi s'élargir. Et un jour, il deviendra enfin l'égal de la femme dans la maîtrise des arts ménagers. Disons dans quelques millénaires.
barre25.gif
Les autres articles du même auteur sont ici
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6 mars 2010 6 06 /03 /mars /2010 22:00
Je pensais pas qu'à son âge il voudrait s'habiller façon baggy comme les d'jeuns de banlieue.
En tout cas, nous venons d'échapper à une vision d'horreur  :

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9 février 2010 2 09 /02 /février /2010 09:11

(Suite directe du Tome II, mais peut se lire indépendamment)

  - Alors Steph, encore trois mois, et c’est le Pérou… Tes fameuses vacances au Pérou...
C'est bizarre, ça fait une semaine que tu nous en parle plus...

- Ah non, ya plus de vacances, enfin si, mais plus au Pérou, c’est annulé !


 - Hein ? tu a fait  que nous en parler en boucle depuis trois mois, et tu annonces comme ça que tout est annulé d’un coup ?
On comptait sur les photos nous !!!

 - Annulé… peux pas… financièrement… besoin de sous…


  - Qu’est ce qui t’arrives ? Problèmes de sous ? ? ? Toi ? ? ? T’as un loyer dérisoire, pas de femme, pas de gosse, pas de voiture ? Et tu joues même pas au loto quand on en fait un au bureau !


  - Ben oui, grosse facture d’électricité, il m’ont fait des délais, je vais mettre six mois à la payer, à cause de ça j’ai du annuler mon voyage…


  - Grosse facture d’électricité ? ? ?


  - Ben oui


  - Qu’est ce que tu as comme appareil chez toi pour avoir une grosse facture ?


  - Ben je comprends pas, ils sont même venus vérifier l’état de marche de
mon compteur, ou si quelqu'un s'était branché dessus, mais c'est pas ça.

  - Ton radiateur ?

  - Ah non c'est pas ça !

  - Ton chauffe eau ?


  - C’est un chauffage collectif à l’immeuble. Le montant de ma part à pas changé.


  - Les plaques électriques ? tu les a laissées allumées une semaine entière ?

  - Nan, c'est une gazinière au gaz.

  - la cafetière ou la bouilloire ?

  - j'en ai pas.

  - T'as repassé le linge en retard de toute ta famille ?

  - Ça va pas non ??? (pis c'est maman qui fait mon repassage)

  - T'as acheté plusieurs gros frigo américains ?


  - Ben non, j'ai toujours le même petit frigo


  - La machine à laver ?


  - J'en ai pas, je fais ma lessive chez ma mère ou au lavomatic dans ma rue.


  - Tu as toujours ton radiateur électrique ? Tu appuies sur un bouton pour l'allumer ?


  - oui


  - Tu t'en sers comment de ton radiateur ?


  - Ben je le laisse allumé toute la journée pour pas avoir froid le soir quand je rentre.


  - Tu le laisses au minimum, en hors gel ?

  - Hein ??? C'est quoi le hors gel ? j'ouvre grand la fenêtre pour aérer, alors je suis bien obligé de le mettre à fond pour pas avoir froid.

  ...

 - Mais pourquoi vous me regardez tous comme ça ?

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27 janvier 2010 3 27 /01 /janvier /2010 21:09
Steph, la trentaine passée, était content d’avoir rendu les clefs de son HLM un peu miteux à ses yeux.
Il avait aménagé au cours de l'été dans un studio dont ses parents étaient propriétaires, et il bénéficiait, en plus du quartier sympa, d’un loyer à tarif "famille" défiant toute concurrence.

Il était tout content des "pépettes" qu’il économisait ainsi pour se payer son prochain beau voyage organisé dans quelque pays exotique et ensoleillé.


Mais après l’été, vinrent l’automne et les premiers frimas…


Et Steph commença à avoir froid dans son beau studio
.

Ses collègues lui suggérèrent d'allumer le chauffage :

- Ben… je sais pas si il y en a…

- Il y avait quelqu’un avant toi dans l’appart ?


- Oui, mon cousin. Il y est resté deux ans.


- Il est pas resté tout ce temps sans chauffage! ! !


- Ben je pense pas ... J'en sais rien...


- Et t'as pas posé la question quand tu as signé ton bail ?


- Ben non. C'est mes parents qui m'ont loué l'appartement.


- As tu regardé s’il y avait un appareil de chauffage ?

- Non, j'ai pas regardé.

Quelques jours plus tard, Steph emmitouflé dans un gros pull, retour sur la conversation :

- Oui, j'ai regardé, ya un truc sous la fenêtre, on dirait un radiateur.


- C’est un radiateur comment ?


- Ben ça fait comme une grosse boite, et ya un fil qui va
jusqu’au mur.

- Ça doit être un radiateur électrique ! Et ya pas un bouton pour l'allumer ?


- Ben j’ai pas regardé.


La semaine suivante, Steph fut absent pour cause de gros rhume…


Mais en revenant, il annonça les bonnes nouvelles à ses collègues :


- Ayé j’ai choisi ma destination de prochaines vacances : je vais au Pérou !


Et pis, j’ai le chauffage chez moi !


- Alors, comment tu as fait ?


- Ben j’ai demandé à ma mère et elle m’a dit d’appuyer sur le bouton sur le coté !


- Mais tu pouvais pas le faire par toi même ? ? ?


- Ben c’est exactement ce qu'elle m'a dit !

ligne glace glitter

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17 janvier 2010 7 17 /01 /janvier /2010 21:07
Il était une fois, il y a bien bien longtemps, quelquepart dans une haute haute tour de La Défense...

Marion était frileuse.

Très frileuse.
Pathologiquement frileuse.

Son vestiaire regorgeait d’une collection de pull et de vestes.
Sa bouilloire, toujours allumée, restait à portée de sa main pour se verser quelque tisane ou thé réparateur – et réchauffant – à n’importe quelle heure de la journée.

Ses collègues, compréhensifs, lui avaient laissé la place la plus proche du radiateur, connaissant son besoin pathologique de s’y raccrocher, et s'étaient habitués aux tee-shirts à l'année.

Et le radiateur restait allumé chaque soir, afin que le matin suivant, en arrivant, elle puisse bénéficier de sa douce chaleur et ne pas risquer l'engourdissement par une température qui aurait paru normale à n’importe qui d’autre mais l’aurait cryogénisée sur place.

Or, en arrivant ce matin là, Marion trouva son radiateur éteint.
Il fut promptement rallumé, les pulls furent sortis et la bouilloire fonctionna à plein régime.
Le soir, en partant, elle s’assura, deux fois plutôt qu’une, que son radiateur chéri restait allumé.

Mais le lendemain matin, à nouveau, il était éteint.

Ça ne pouvait durer.

Marion mit donc un mot sur le radiateur : « NE PAS ETEINDRE SVP MERCI »
Mais le lendemain matin, hélas…
Encore…

Qui donc éteignait chaque jour le radiateur source de chaleur salvatrice ? ? ?

Le soir, quand arriva la femme de ménage, un cri du cœur sortit de ses
lèvres :
- S’il vous plaît madame, n’éteignez pas mon radiateur !
- Hein ? ? ? Moi yen a pas toucher aux radiateurs, m'mame ! le patron dire seulement passer chiffon sur bureaux sans rien toucher, moi pas faire plus. Le patron y payera pas plus ! moi pas toucher au radiateur !

La question fut également posée, sans conviction, au veilleur de nuit
.
- Hein ? M’en fous moi de vos radiateurs ! J’passe seulement pour voir si ya pas l’feu ou pas d’cadavres, mais si en plus faut que j’ferme les radiateurs, l’patron y m’paye pas pour ça !

Et pourtant, chaque matin, à nouveau, le radiateur était éteint, et
Marion s’approchait chaque jour un peu plus de la crise de nerfs.
Il fallait trouver QUI faisait ça, ça devenait une question de vie ou de mort.
Il y eut un "conseil de guerre" qui dura plusieurs jours. C’était LE sujet de conversation du bureau. Trouver LE responsable.

Un collègue lui suggéra de s’intéresser aux personnes susceptibles de lui en vouloir.
Mais qui ? Il y en avait bien quelques uns, mais qui
pouvait fomenter une vengeance aussi lâche et basse ?

- Et si c’était « lulu la tapette » ?
- Lui ?
- Ben tu sais qu’il t’aime pas.
- De toute manière, qui il aime ? Même sa mère, faut voir ce qu'il en dit !
- Je vois pas qui d’autre pourrait faire un truc aussi bas.
- Mais faudrait être sûr…

Comment décrire Lulu la tapette ? Il avait plein de manies typiques du vieux garçon, certaines liées à ses anciennes études d'esthéticien. Mais le pire était sa méchanceté qu’il focalisait régulièrement et temporairement sur un sujet présélectionné on ne sait comment par son cerveau malade. Et il crachait continuellement cette haine viscérale sur ce sujet jusqu’à ce qu’il en trouve un autre sur lequel la reporter. C'était son hobby. Rares étaient les choses ou les gens qui trouvaient grâce à ses yeux.

L’hypothèse lulu la tapette était celle qui tenait le plus la corde.

Parce qu’il arrivait par le premier train matinal, dès potron minet, et qu’il pouvait prendre quelques secondes avant de rejoindre son étage, ni vu ni connu, pour fermer le radiateur bien avant que tous les autres n’arrivent.

Restait à le confondre, si c'était bien lui.

L'une des manies de Lulu était l'entretien de ses mains : il passait ses journées à se les tartiner de toutes sortes de crèmes spéciales anti-tâches brunes, anti-bronzage, ou anti-âge.

L’intense brainstorming continua et il fut décidé de poser quelques gouttes d’encre de chine sur le bouton du radiateur, le soir venu. Une visite sous un prétexte fallacieux serait faite aux autres services dès le lendemain matin et on verrait bien si Lulu – ou un(e) autre - avait les mains noires. Et si c'était lui, voir ses belles mains blanches noircies serait assurément vécu comme un traumatisme.

Ainsi fut fait…


Le lendemain matin, quand Marion monta dans le service où travaillait Lulu, celui-ci était en train de se tartiner et de se frotter les mains avec une application soutenue, en marmonnant encore plus d'imprécations haineuses que d'habitude...

Mais le surlendemain matin, et tous les jours qui suivirent désormais, quand Marion arrivait, le radiateur était resté allumé…

taches vertes
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14 septembre 2009 1 14 /09 /septembre /2009 17:54
Akinator, c'est le génie du web.

Vous pensez à un personnage connu ou pas, vous répondez aux questions du génie...

... et il trouve !!!

Enfin, bon, des fois, ya comme des petites erreurs...

(voir les lignes en rouge ci dessous)

(chais pas pourquoi...  la première erreur de la liste... qu'est ce qu'ils lui ont répondu au genie pour qu'il ose trouver ça ??? confondre christophe rocancourt et le fils du chanoine ! )

ligne-cailloux.gif
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12 juin 2009 5 12 /06 /juin /2009 20:35

Une copine vient de m'envoyer une histoire drôle (qui fait régulièrement la tournée des boites mails) :


Un jour, dans un train, Sarkozy, Chirac et une jolie Norvégienne voyagent dans le même compartiment.

Ils roulent sans se parler depuis des heures, quand un tunnel vient plonger le train dans l'obscurité la plus totale. On entend alors un bruit de bisou immédiatement suivi d'un monumental bruit de baffe.

Quand le tunnel est passé et que la lumière revient, Chirac et la Norvégienne sont assis comme si de rien n'était. Sarko, lui, se tient la tête à deux mains, visiblement sonné.

Il se dit : " Chirac a embrassé la Norvégienne, elle a cru que c'était moi et elle m'a collé un pain."

La Norvégienne pense : "Sarkozy a voulu m'embrasser mais il a loupé son coup et a embrassé Chirac qui n'a pas apprécié."

Chirac se dit : "Au prochain tunnel, je refais le bruit du Bisou et je lui en recolle une autre, à ce con de Sarkozy."

 

Il existe plusieurs variantes de cette histoire, selon les affinités des uns ou des autres, qui inversent ou changent les noms des deux protagonistes masculins...


Mais aujourd'hui, je me dis qu'elle a quand même un petit coté d'actualité cette blague :

(et ya même la jolie norvégienne)

 


(sacré Chichi)

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15 décembre 2008 1 15 /12 /décembre /2008 22:58
"... I will be surprised, yet again, if we do not see a square in baghdad named after this president."

Ceci peut se traduire par " Je serai surpris si nous ne voyons pas une place à Bagdad appelée du nom de ce président."

Cette citation de Richard Perle (perle... c'en est une) serait du 22 septembre 2003, et aurait été répétée le 17 février 2005.

Mais à mon humble avis, on n'y est pas encore tout à fait...

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